Happy Noël chez Henry M.
Henry M. (aime) Noël
Henry M. (aime) faire des cadeaux
Avec le code NOEL2012
20% sur les toutes les créations
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Comme beaucoup d’entre vous, j’ai quitté My Littlebox après la première boîte de leur nouvelle formule. Franchement, elle ne correspondait plus à mes attentes. Les faux cols, les rouleaux de masking tape et autres goodies de ce genre ne sont plus de mon âge.
Je suis donc revenue vers Glossybox, première marque testée avant toutes les autres. Si j’attends ma boîte de novembre à la fin du mois, j’ai reçu hier leur nouvelle formule « Les essentiels ». Alors oui, clairement, elle est davantage tournée vers l’hygiène que vers la beauté. Mais cela va de pair, non ? Ne vous attendez donc pas à être inondées de paillettes et autres gloss.
Je ne suis pas déçue même si les produits proposés sont tous facilement trouvables en GMS. Nous étions prévenues et puis pour 11 € de nos jours, on ne vend pas du rêve.
Les produits
Bilan : rien de bien glamour ni de mirobolant mais pour environ 30 €, « Les essentiels » tiennent leur promesse.
Vont-ils tenir la route ?
Dès demain et jusqu'au 31 juillet, Henry M. pense à votre cou gracile, votre décolleté désiré, vos lobes parfaits et vos poignets délicats. 40% sur toutes les créations. Courez, volez, faites ce que vous voulez !
http://www.alittlemarket.com/boutique/henry_m
Bracelet "Zoé" - 4,14 €
Collier "Billy" - 7,14 €
BO "Beth" - 8,34 €
BO "Lio" - 5,94 €
Sautoir "Lili" - 11,34 €
Enjoy !
Aimer Isabel Marant ? Mais trouver que 500 € pour une paire de baskets, c'est abusé...
Avoir envie d'une paire de sneakers ? Mais trouver qu'avec 500 €, on peut acheter plein de fringues...
Avoir envie de suivre le mouvement ? Mais trouver que 500 €, c'est trop pour passer 2013 au placard...
Et bien, il y a André ! Après le modèle à lacets, bien bien compensé, qui à défaut de vous faire des jambes "Fashion Week", vous fait gagner 7 cm, André vous propose le modèle à scratchs (2 modèles bi-couleurs), moins compensé, mais bien réussi tout en étant archi-confortable. Archi-confortable pour affronter le marathon soldesque du 27 sans problème !
La blague, c'est que grâce à des pré-soldes, elles sont actuellement à 50% soit 44,50 € ! C'est pas chouette, ça ?
Je n'ai évidemment pas pensé à scanner mon bon mais vous pouvez le télécharger sur le blog de Walinette, The beauty and The geek (et on dit merci !). Voilà, c'est tout pour ce soir...
Comme tous les mois, quelques lignes sur la Little Box de juin. Le thème est resté longtemps secret et à mes yeux, est toujours relativement mystérieux.
LE SMILE
Les quelques indices essaimés d’ici de là ont laissé place aux suggestions les plus « glamour » : dentifrice, mini-brosse à dents, pastilles haleine fraîche, etc. Et pourquoi pas non plus, un bon pour une séance d’orthodontie, une photo dédicacée de Christian Clavier dans « Les visiteurs » ou encore un poster d’Ugly Betty. Bref, vous m’aurez compris, non seulement les idées des unes et des autres étaient totalement à côté de la plaque et de plus, vous me croirez ou pas le contenu de la Box aussi…
Commençons par les Goodies.
Je vous fais grâce du Notebook.
Les produits
Bref, je suis plutôt satisfaite par cette Box même si les produits ne sont absolument pas en rapport avec le thème. D’un autre côté, on s’en fouterait pas un peu du thème ? Et puis, j’imagine que ce n’est pas forcément facile de trouver un thème et des produits en adéquation chaque mois. Vivement août pour l’équipe MLB.
Des produits intéressants même si le lait pour le corps revient de manière un peu récurrente (quand ce n’est pas le shampooing…). Je reste toujours persuadée que MLB est la meilleure Box en rapport qualité / prix. Un petit effort sur les Goodies… Des marques à découvrir, et nous serons au top !
Autant j’ai manifesté un enthousiasme sans bornes en avril, autant là… Bon nombre de blogueuses ont déjà exprimé le manque de paillettes et de glamour de cette boîte, estampillée « Festival de Cannes », je ne vais donc pas revenir là-dessus… De plus, je ne suis pas forcément la personne idoine pour évoquer les paillettes et le glamour. On va dire que ce n’est pas forcément mon truc pour faire court.
Cette Box ne m’a fait ni chaud, ni froid… Ne m'a tiré ni larmes, ni cris de joie… A force de râler, je me dis qu’au final, la meilleure solution est peut-être tout simplement le désabonnement. T’es pas contente ? Et ben, tu t’en vas ! D’un autre côté, cela me semble un peu trop simple et puis parmi mes nombreuses lectrices (hahahaha…) se trouvent sans doute de charmantes employées MLB qui du coup, grâce à la pertinence extrême de mes remarques, finiront par répondre à mes attentes les plus folles.
Point positif : box reçue tôt dans le mois et cerise sur le gâteau, avant le début du Festival !
Les goodies cannois
Les produits
Bon, vous l’aurez compris, pas de coup de foudre pour cette Box. A mes yeux, elle n’arrive absolument pas à la cheville de sa cousine d’avril qui elle, me semblait parfaite, même si les coquelicots et autres calendulas, n’ont jamais poussé.. D’un autre côté, j’aurais beau arroser la coque de ce mois-ci, je doute qu’un Iphone4 finisse par pousser !
Initialement, "Shameless" est une série anglaise. Origine confirmée par la truculence des propos et l’absurde de certaines situations. Créée en 2004 par Paul Abott et inspirée de sa propre vie (pauvre homme, il n’a pas dû s’marrer tous les jours !), elle cartonne depuis neuf saisons sans faillir, ce qui n’est pas le cas de toutes ses petites cousines américaines ("Desperate Housewives", pitié, arrêtez le massacre de la saison 8 !).
"Shameless" vient de traverser l’Atlantique et pour l’instant, les deux premières saisons sont aussi prometteuses qu’irrévérencieuses. Après avoir vu le 1er épisode – saison 1 de la version anglaise, j’ai basculé, je ne sais comment, sur la version américaine et my god, qu’est-ce que c’est bon ! J’ai eu peur que le puritanisme américain (quoique malmené par des séries comme "Nip / Tuck") ne vienne livrer une guerre sans merci aux dialogues trashouilles de la série mère mais NON ! Les dialoguistes ont dû prendre vraiment du bon temps. Leurs dialogues sont juste parfaits, crades quand il le faut, osés quand c’est nécessaire, drôles quand c’est possible, etc…
Cette série dont j’attends avec une impatience accrue la 3ème saison prévue pour 2013 est mon second coup de cœur après "Breaking Bad". Forcément, l’histoire est totalement différente, les protagonistes sont un peu moins fins, les situations un peu moins subtiles mais vous êtes happés par ce je ne sais quoi qui fait le charme de la série. Peut-être, le fait qu’elle ne ressemble à aucune autre et que l’interdit n’a pas sa place entre humoir noir et rire jaune. Au diable la bienséance et les convenances, semble vous crier à chaque épisode la famille Gallagher.
Parlons-en de la famille Gallagher, figure de proue d’un quartier pauvre de Chicago… A sa tête, Franck, pitoyable cinquantenaire, toujours ivre mort. Chômeur, alcoolique, sans scrupule, il passe plus de temps au pub du coin ou à dormir sur un trottoir qu’à s’occuper de ses gosses. Vous avez envie de le détester et pourtant, l’acteur qui l’incarne vous donne envie de vous attacher à ce pauvre type.
Sa femme, Monica, bipolaire portée également sur l’alcool et les drogues, est partie en laissant derrière elle leurs six enfants. L’aînée, Fiona a abandonné le lycée pour pallier à l’absence de ses parents et s’occuper de la fratrie. Jolie fille attachante et bosseuse, elle gère Lip, surdoué de 17 ans porté sur la magouille, Ian, homosexuel de 16 ans qui tente vainement de cacher ses penchants sexuels dans un quartier où les voyous font la loi, Debbie, petite fille de 11 ans marquée par le départ de sa mère, Carl, psychopathe de 10 ans qui hésite perpétuellement entre l’usage d’armes à feu et la torture d’animaux et pour finir, Liam, bébé noir qui étonnamment est bien le fils de Franck.
Pour compléter le portrait de famille, Veronica et Kev, les voisins obnubilés par le sexe qui ne pensent pas à grand-chose d’autre d’ailleurs ; Karen, jeune fille nymphomane dont la mère est totalement agoraphobe et définitivement étrange et Steve, voyou menteur au grand cœur dont Fiona est amoureuse…
Bref, "Shameless" nous plonge dans l’univers des Gallaguer et Cie, un univers sans tabou mais tout de même avec une once de morale. Si vous n’aimez pas le trash, ce n’est pas la peine de regarder la série. Si vous aimez Les Ramones, foncez car la BO est juste génialement rock !
Oui, ils vivent de plans foireux, le plus souvent orchestrés par Franck. Mais si la vie n’était pas aussi foireuse, seraient-ils obligés de le faire ? Seraient-ils aussi attachants ? Bien loin, de la famille Ingalls et de sa bicoque en bois, Shameless est une série bien écrite et parfaitement interprétée. Un seul regret. Devoir attendre 2013 pour suivre la suite de leurs aventures. Car les regarder, c’est les adopter !
En attendant dimanche soir,
faisons-nous plaisir dès maintenant ;) !
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Bracelet "Adélie" - 6,90 €
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Enjoy yourself !
Avec un sur-titre comme « Soyons sérieux, restons allumés », la promesse d’un traitement éditorial novateur et des vraies enquêtes, de réels articles… Je ne pouvais que sauter sur Neon, nouveau bimestriel en kiosque depuis mars.
Bon alors…
Le sur-titre me fait plutôt sourire. En fait, je ne sais pas trop dans quel sens le prendre… Restons à l’écoute ? Restons un peu fous ? Toujours est-il qu’il me rappelle furieusement un certain « Soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien » que plus d’une d’entre nous a hurlé lors d’une soirée bien arrosée.
Neon, s’adresse aux 25 / 35 ans parce qu’avant t’es trop con pour t’occuper des sujets de société, politiques ou autres et qu’après, t’es tellement aigri par les promesses non tenues que ça ne t’intéresse plus. Ca craint, j’ai 37 ans et j’ai acheté Neon.
Derrière ce nouveau magazine, Prisma Presse, maison mère de beaucoup de parutions françaises, donc du lourd… Vendu 1,50 €, le prix devrait passer à 3,50 € et devenir mensuel si le succès pointe le bout de son nez. Je dois avouer que gavée depuis plus de vingt ans aux Elle, Biba, Cosmo et plus récemment auxGrazia et Be, je suis bien contente d’avoir pris le temps de lire ces 150 pages même si la couverture ne m’a pas franchement transcendée au premier coup d’œil. Je ne vais pas non plus taper bêtement sur un nouveau bimensuel auquel je pense et qui à mes yeux, est loin de tenir sa promesse. Jolie couverture, un prénom désuet mais qui donne un côté IT, deux ou articles sans réel fond pour un prix de lancement pas petit, petit… Bref, trois numéros, je laisse tomber.
Revenons à notre Neon. Le rubriquage est intelligent quoique pas révolutionnaire non plus. Ce n’est pas Che Guevara, le rédac’ chef… Restons allumés, légèrement alternatifs mais pas trop non plus ! Six verbes pour six rubriques : partager, voir, ressentir, connaître, avoir et respirer. C’est mignon, non ?
L’amour, l’amour… C’est bon, ce n’est pas parce que c’est le printemps, qu’il faut nous ressortir cet éternel marronnier du mois d’avril. « Love at first sight », c’est dégoulinant de rose comme expression, aussi suintant qu’une vieille guimauve oubliée au fond de mon sac… Vous avez compris que ce n’est pas l’article que je retiendrai même si le traitement se veut modestement différent. Mais je suis persuadée que la rédac a sûrement fait le bon choix. L’amour, thème fédérateur et vendeur. Soit tu aimes et tu es aimée et tu t’y intéresses par mimétisme, soit personne t’aime et à défaut de mettre fin à tes jours en avalant le magazine en boulettes, tu tentes de comprendre pourquoi en lisant ces quelques pages.
Pour faire plus court que d’habitude, allons à l’essentiel : les sujets dont je me rappelle encore deux semaines après les avoir lus. « Les artistes russes contre Poutine » : très bon article, angle original, pas de blablas inutiles. Yes ! « La consommation d’insectes » ou comment mettre fin à la faim dans le monde en mangeant tout un tas de saloperies : instructif, voire comique, bon divertissement. Dans un autre registre, plus touchant, l’histoire d’enfants adoptés, interviewés à l’âge adulte. Sujet déjà traité en long et en large dans la presse ou à la télé mais bien exploité sans tomber dans le pathos.
J’ai dévoré l’article du type qui a tenté l’expérience de ne pas dormir pendant quatre jours. Il n’était pas obligé mais il l’a fait et là, je dis « bravo ». Le plus dingue, c’est qu’au bout du compte, il n’avait pas le visage plus attaqué que moi après une légère insomnie de deux heures. Shiseido ? Clinique ? Concombre ? J’aimerais connaître son secret.
Quelques pages marrantes ponctuent ces articles plus sérieux. Du style, « faut-il prendre un chat ? », « vous faites quoi le 22 décembre 2012, le lendemain de la fin du monde ? »… Bon ok, ce n’est pas encore olé olé mais ça a le mérite de divertir sans se prendre trop au sérieux. Et c’est une qualité qui devient rare dans le monde de la presse.
En bref, je dois OUI et attends le prochain numéro avec une certaine impatience en espérant qu’il soit dans la même lignée que le premier. Ah, j’oubliais ! Je suis trop vieille, plus dans leur cible. Comme quoi, arrêtons de mettre les gens dans de petites cases bien étiquetées, avec des a priori bien rangés. Et n’oublions pas : « Soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien ».